Une sacrée révolution s’est opérée en moi depuis que vous avez accepté de me coacher, à la fin de mon année de khârré. J’étais alors scolairement au fond du trou, glandeur invétéré, avec peu de perspectives de succès en khûbe. Aujourd’hui, je m’apprête à intégrer HEC. Que s’est-il donc produit ?
Sur un plan purement comptable d’abord, je suis passé d’un piteux 8 de moyenne générale aux parisiennes et une admissibilité… nulle part, à plus de 16 et tri-admissible.
En ce qui concerne les maths, vos cours, alliant humour bien dosé et rigueur mathématique, ont achevé de graver dans mon crâne la rédaction-type apprise en répétant les classiques de vos polys. Une rédaction largement dédaignée par mes profs, qui m’a pourtant été essentielle pour obtenir près de 18 de moyenne en maths au concours. Finalement, ce que vous m’avez apporté dépasse largement le cadre de la prépa et de l’école : vous m’avez appris le sens du mot travail.
Je le reconnais, ça n’a pas été une mince affaire, mais vous avez toujours cru en moi, et toujours été là pour me remettre dans le droit chemin dès que je cédais à la tentation de la médiocrité. Alors que j’étais incapable de faire des efforts si la récompense n’était pas immédiate, vous êtes parvenu à me donner un objectif pour lequel me dépasser et faire les sacrifices nécessaires. Une qualité essentielle que je pourrai mettre à profit dans ma vie professionnelle. Pour tout ça, merci.