Me voilà libéré de la prépa, après 3 longues années, et je me devais de vous écrire un mot. Lorsque le résultat est apparu sur mon écran, mon premier souvenir fut mon rendez-vous avec vous à la mi-août.
Je sortais d’une année de carré où mon rêve avait été brisé. Je rêvais de parisienne, que dis-je, d’HEC, et voilà que je n’avais pas mieux que l’EM Lyon. Certes ma décision de khuber était prise mais l’année qui se profilait devant moi m’inquiétait au plus haut point. Mais après 1h15 de discussion, entre blagues, traits d’humour, discours d’encouragement et écoute attentive, j’en étais sorti avec le sourire. Oui je me lançais dans mon année de khube le sourire aux lèvres. Voilà pourquoi je vous remercie.
Au-delà de vos précieux conseils de maths qui ont renforcé et consolidé mon niveau pour atteindre ce fameux 20 en maths de parisienne, vous m’avez porté pendant mon année de khube. Ayn Rand disait : “La question n’est pas de savoir qui va me laisser passer, c’est de savoir qui va m’arrêter”. Voilà comment résumer tout simplement ce que je vous dois à la fin de cette année. Vous avez été capable d’effacer mes moments de doute par un simple appel, de me donner envie de me jeter à ma table de travail par une citation à 7h30 pendant les révisions, de m’arracher jusqu’à la dernière seconde pendant mes épreuves.
Par vos encouragements vous m’avez montré que rien ne m’était impossible, et rassurez-vous je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin.