Je me souviens de cette conversation avec vous, à la fin de ma première année de prépa, avant que je ne rejoigne MasterClass :
– Vous : Quelle école veux-tu intégrer l’an prochain ?
– Moi : Je ne sais pas… J’aimerais bien avoir une école du top 5.
– Vous : NONNNNN !!! Il faut viser plus haut, il faut viser le meilleur. Tu dois viser HEC, te battre pour avoir HEC. Il faut que tu dormes HEC, que tu manges HEC, que tu rêves HEC, que tu ne vives que pour HEC.
– Moi : Oui… Mais si je n’ai pas HEC, est-ce que je ne risque pas d’être psychologiquement anéanti dans le cas où je ne décroche pas cette école ?
– Vous : Tu dois te battre pour avoir HEC, quoi qu’il arrive. Pour toi, ce doit être HEC… ou HEC, et en cas d’échec… HEC. Et si jamais tu finis à l’ESSEC, tu ne pleureras pas, non ?
– Moi : Oui, bien sûr, je serais ravi si je n’ai “que“ l’ESSEC.
Vous m’aviez assuré que vous alliez me booster et me pousser dans mes retranchements. Chose promise, chose due : si je me suis battu comme un acharné en deuxième année, c’est parce que vous étiez derrière moi : toujours là pour me remotiver quand je ressentais une baisse de moral, toujours joignables pour répondre à mes questions et me donner des conseils, toujours à mes côtés pour me faire progresser durant ma prépa.
Finalement, j’intègre l’ESSEC ; j’exulte de joie et je ne me morfonds nullement de ne pas avoir eu HEC.
Merci pour tout !