Merci d’abord pour ces précieux cours de maths qui m’ont permis d’accéder à l’ESSEC ; et ce n’était pas gagné, vu qu’à la base les maths étaient un handicap : vous avez su en faire une force pour moi.
Mais c’est surtout au coach (qui recevait mes nombreux appels paniqués de 17h à minuit) à qui je m’adresse aujourd’hui, merci de m’avoir fait croire pendant un an que tout était possible et que les meilleures écoles étaient accessibles, voire dues, à condition de travailler, et de travailler bien (cf. les “incontournables qu’on doit connaître PAR CŒUR, PAR CŒUR, PAR CŒUR”).
Merci enfin pour votre bonne humeur et vos citations diverses et variées qui me font aujourd’hui dire que non, la deuxième année de prépa n’est définitivement pas un calvaire.